samedi 30 juillet 2022

Un 200 bien touristique avec l'ami Régis

 

Introduction

Les brevets se succèdent au calendrier du CVRQ. Ce samedi, c'est le 200 des 2 Traverses au départ de Vaudreuil, déjà effectué en Mai dernier. Je suis en forme, j'ai du temps libre, c'est donc naturellement que je vais y participer. Peu d'inscrit en cette période estivale, ou bon nombre de pédaleux sont en vacances, en dehors de la métropole. Tout de même huit noms s'affichent sur la liste des participants, dont cinq personnes pour un premier coup d'essai. C'est de bonne augure pour un éventuel renouvellement au sein du club. Aussi, RV samedi !

Mon nouvel ami Régis, le pyrénéen !


Samedi 30 Juillet - Gare de Vaudreuil

J'arrive au point de rassemblement à Vaudreuil vers 6h30. Fred est le distributeur de cartes officiel, il se pointe peu après moi. Il ne fera pas le brevet au complet mais juste quelques kilomètres pour parfaire sa condition en vue du LEL, départ dans une semaine à Londres. Il s'est beaucoup entrainé ces derniers jours, enchainant quelques 200 et 300. Je lui conseille de se calmer car le repos fait aussi partie de l'entrainement !

Les cartes de Fred attendent leur propriétaire

Les participants arrivent peu à peu. D'abord Alexandre D, qui a bien hâte de goûter à un brevet. C'est aussi un adepte de la garnotte, puisqu'il s'est inscrit prochainement au Gravel Bikepacking Challenge 250, petite frère du GBC 500. 

Alex D, aussi un adepte de la garnotte

Puis, Dija A arrive dans son Subaru immatriculé dans le New Jersey. Elle aime le Canada, puisqu'elle a effectué un 300 en Ontario la semaine passée. 

Fred accueille Dija, une américaine du New Jersey

Julie L et Kathleen F font ensuite leur apparition, une 3ème personne devait les accompagner mais elle a décliné. Elles sont originaires de Trois-Rivières et veulent aussi dépasser leur limite, en pédalant pendant 200 bornes, une première dans leur carrière sportive.

Julie et Kathleen, 2 nouvelles recrues de 3R

Finalement, il y a Régis dont la carte attend son propriétaire. C'est un bon Jack français rencontré lors du 600 de la semaine passée. Il arrivera après le départ officiel, à cause d'une erreur de stationnement. On se reverra par la suite.

Sur le tarmac de la gare de Vaudreuil

7h, c'est l'heure des consignes et de la photo de groupe, prise par Fred. C'est parti pour les six présents, sous une belle météo annoncée, pas trop chaude pour une fois.

Nos 5 valeureux breveteux, plus Régis sur l'autre stationnement !


Étape 1, de Vaudreuil à Rivière-Beaudette, 45 km

Malgré mes recommandations pour partir relax et rester groupés pour les premiers kilomètres, Alexandre emmène la troupe à bonne vitesse, dans le labyrinthe des rues de Vaudreuil. Les filles de 3R n'ont aucun mal à le suivre, ainsi que Fred. Cependant, je m'aperçois que Dija a du mal à accrocher le TGV. Quant à moi, je suis indécis. Dois-je attendre Dija, l'attardée, ou suivre ces jeunes, fast and furious ? Comme je me sens bien malgré les 30 à l'heure imposés, je décide de continuer avec les locomotives.

À la poursuite des rapides et dangereux

Nous quittons rapidement la civilisation pour nous retrouver au bord de l'eau, en face de l'ile Perrot. La direction est sud, pas de souci avec le vent, assez fort venant de l'ouest. Fred se permet de nous passer devant, s'arrêtant un plus loin pour nous tirer le portrait, merci l'ami.

Tout le monde s'éclate, à la queue leu leu !

Km 12, vers Pointe des Cascades, changement de direction. À présent, nous filons le long du fleuve, face au vent. Alex puis Kathleen mènent la danse, en s'échangeant les relais. 

Kathleen prend une bouchée pendant l'effort

Julie et moi, suivons comme on peut, pour ne pas prendre trop de zéph dans la poire. À la file indienne, nous dépassons les Cèdres. J'aime le Chemin du fleuve, offrant de belles vues sur le St Laurent, baigné d'une magnifique couleur matinale.

Le TGV pour Rivière Beaudette est en marche

Malheureusement, l'heure n'est pas à la contemplation. Je dois me concentrer pour suivre les roues, en évitant les imperfections de la route, se multipliant à l'approche de Coteau du Lac. 

Faut s'accrocher aux roues et se protéger du vent

Km 33, Alex et Kathleen laissent leur place à Julie pour tirer le groupe. Celle-ci augmente encore la cadence d'un ton. 33 à l'heure, vent dans le pif, mes voyants commencent à clignoter. Soudain, Julie roule sur une grosse roche, aussitôt éjectée vers ma roue avant. Je crains le pire en entendant un bruit de métal. Mais plus de peur de mal, mon vélo continue de rouler, avec moi dessus, comme si de rien était. Ouf, je l'ai échappé belle, et Julie aussi.

Sain et sauf après l'épisode de la roche volante

Après 40 bornes à ce rythme, pour moi infernal, je décide de laisser aller ma bande de jeunes fougueux. Aucun problème à ce qu'ils veulent se tester et s'éclater. Mais je leur rappelle qu'il y a 200 bornes à rouler, avec quelques bosses au programme. Donc pour moi, ce sera mollo. 

Un petit cliché puis je laisse aller ma bande de jeunes

D'autant que je reçois un texto sur mon Garmin, m'avisant que Régis a pris le départ. Il navigue quelques kilomètres en arrière.

Km 45, j'arrive au Pétro-Canada de Rivière Beaudette, premier contrôle du brevet. 

Le Pétro-Can, premier checkpoint du 200

Mes trois compères de ce sprint matinal, profitent de la pause pour refaire le plein en eau et en énergie. 29 km-h au compteur, pas mal pour commencer ce 200. Merci les amis de m'avoir tiré ! Le trio repart assez vite, je ne les reverrai plus de la journée. Bonne route à vous. 

Julie surveille les vélos de ses amis durant la pause

Pas de nouvelle de Fred, celui-ci a peut-être déjà pris le chemin du retour. Quant à Dija, j'espère que tout va bien pour elle, en roulant le brevet à son rythme.

Je prends mon temps pour cette pause. Signature de la carte vers 9h, passage aux toilettes, achat d'un café et de tartelettes au sucre. Je vais déguster mon déjeuner en regardant les motards des lieux qui comparent leurs engins. L'un d'eux vante les mérites de sa Honda automatique, aussi vive qu'un scooter, mais en plus nerveux ! 

Je patiente un peu, espérant voir arriver l'ami Régis. Je lui ai signalé ma position par texto. Au bout de 30 minutes, je décide de remettre en route. Il me rattrapera en chemin.


Étape 2, de  Rivière-Beaudette à Rigaud, 56 km, total 101 km

Je repars donc solo sur la 325 vers Rigaud, le 2ème contrôle du brevet. Nous n'y allons pas directement, puisqu'une escalade du mont est prévue au programme. Le vent toujours d'ouest, m'est légèrement défavorable, mais cela ne me gène pas. Je suis bien heureux d'être sur mon vélo à pédaler. J'ai de bonnes sensations, la vie est belle.

En allant vers Rigaud, air connu !

Vite fait, je rejoins le dépanneur de St Télésphore, déclassé comme contrôle de brevet, car ouvrant trop tard, à 9h30 le samedi. Je prends juste une photo et redécolle aussitôt.

Le contrôle déclassé de St Télésphore

Km 64, à Ste Justine station, les feux rouges de la voie ferrée clignotent. Je me dépêche de franchir les rails, des fois qu'un train d'un kilomètre de long, me barre le passage. Dans l'instant qui suit, un train de voyageurs fait son apparition . Bon ben, y avait pas de stress à avoir !

Course gagnée contre le rapide d'Ottawa

Je reçois un autre texto de Régis me signalant qu'il est à St Télésphore, à quelques bornes d'ici. Je lui réponds qu'il devrait me rejoindre vers Rigaud, le pyrénéen étant plus véloce que moi dans les grimpettes.

Ma direction oblique vers l'est, faisant augmenter ma vitesse puisque Éole me pousse agréablement. Quelques petits faux plats sont dépassés du côté de St Rédempteur. 

Ça se couvre très beaucoup vers Très St Rédempteur

J'attaque à présent la petite montée débouchant sur l'érablière St Henri, charmant endroit bien évidemment déserté l'été. 

La charmante érablière St Henri, fermée en été

Je poursuis par une belle descente vers la passagère route 201, me ramenant à basse altitude, vers les 50 mètres. Il faut remonter de l'autre côté du mont Rigaud par le chemin St George. Celui-ci nous fait attendre l'altitude de 200 mètres en 4 kilomètres accidentés. L'ascension se fait très bien, mon vélo étant très peu chargé, mes muscles répondant sans problème aux efforts demandés.

Écon-eau-mie à Rigu-eau !

Alors que je m'arrête au sommet pour immortaliser l'instant, l'ami Régis surgit dans le décor.

Régis surgissant de la côte

Salutations amicales puis descente à bâtons rompus vers le village au Super Dépanneur, lieu du 2ème checkpoint. 

Abrupte descente vers le casse-croûte

Nous garons nos destriers sur le promontoire en bois, il est un peu moins de midi. Pas de trace des fusées matinales, lancées sur orbite. Elles doivent poursuivre leur rapide trajectoire vers le prochain contrôle.

Super-dépanneur pour super-randonneurs

Je vais me chercher un sandwich oeuf bacon et un coke pour remettre du fuel dans le réservoir. Les gérants du magasin sont impressionnés par notre escapade. Je leur raconte qu'un 200 est juste une balade de routine pour des randonneurs de notre trempe.  Faut bien se bomber le torse, des fois ! 

Régis s'est juste ramené un Gatorade car il a emporté dans ses nouvelles sacoches qu'ils me montrent fièrement, de quoi dévorer pour un régiment. Il en sort du pain et du saucisson, dont il découpe des tranches avec un bel Opinel, couteau pliant français réputé. Il m'en offre quelques rondelles, pendant que nous discutons le bout de gras ! 

Du pain, du saucisson, il ne manque que le pinard !

Il me raconte ses aventures de la fin du 600 de la semaine passée. Il n'a pas pu réparer sa crevaison à 15 petits kilomètres du but, de nuit et sous la pluie. Il a pris un taxi, qui n'a pas voulu embarquer son vélo. Du coup, il a caché son bécyk dans les fourrés, pour le rechercher, le lendemain matin. Quelle histoire, monsieur Pomès !

Une demi-heure plus tard, nous stoppons la discussion. Nous avons en effet, une moitié de brevet à terminer, soit 100 kilomètres.


Étape 3, de Rigaud à Mirabel, 50 km, total 151 km

Le ciel s'est chargé de nuages. Tant mieux, nous n'aurons pas trop chaud. D'autant que le mercure ne s'affole pas aujourd'hui, mon Garmin affichant un timide 20 degrés, idéal pour cycler. En duo, nous échangeons les relais sur les 12 bornes menant au traversier de Pointe Fortune. 

En route pour le premier traversier de Pointe-Fo

Dans l'attente de notre passage à 2$, nous faisons plus ample connaissance. J'admire le beau vélo rouge Raleigh de Régis. Apparemment, c'est un vrai amateur de la bicyclette. Il en possède quelques unes, de toutes sortes, route, gravel, fixie, qu'il bricole et façonne à guise avec amour. 

En attendant le bac, on discute le bout de gras

Régis vit à Toronto, pour son travail de recherche en pédiatrie. Il possède également un pied à terre à Montréal, c'est pourquoi on le voit de temps en temps sur les brevets du CVRQ. Il ambitionne évidemment de faire le PBP 2023, en tant que récidiviste de 2019. Il est donc à la chasse aux longs brevets pré-qualificatifs. Il fera certainement le 1000 Coureurs des Bois organisé par Ottawa ces prochaines semaines. 

Le bac fluvial nous emporte sur la Rivière des Outaouais. 

Vogue la galère vers Carillon

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, nous accostons déjà sur l'autre rive, côté Carillon. Une bosselette nous attend pour nous remettre en jambe, elle nous conduit à St André Est. Sur 10 kilomètres, nous remontons plein nord sur la 327, jusqu'au gros bourg de La Chute. 

Lachute tombe à point pour une pause sanitaire

Je propose à Régis un arrêt au Tim local, pour besoin sanitaire. Par la même occasion, nous y prenons un capucino glacé, tout en papotant de vélo, le sujet est vaste. On ne voit pas le temps passer, encore une demi-heure d'écoulée en papotage !

Dégustation de capuccino au Tim local

Nous nous remettons en selle en attaquant la 158 Est, moyennement achalandée. La route longe la Rivière du Nord, côté sud. C'est tout plat, nous sommes poussés par ce vent d'ouest, toujours présent. Aucun problème donc pour parcourir les 16 kilomètres les plus passagers dans ces conditions.

Sous la grisaille sur la 158

Km 145, bifurcation à droite vers Mirabel. 6 bornes faciles nous amènent au dépanneur O'Bien, juste en face l'église. C'est le 3ème checkpoint du brevet, il est un peu moins de 15h.

3ème contrôle de Mirabel - St Scolastique

Je file faire signer ma bout de carton, en rapportant un coke avec une grosse barre de chocolat, que je glisse dans ma sacoche de grignotage. Régis n'a pas besoin de se ravitailler, il doit vider le stock de bouffe de ses sacoches. On discute situation familiale, c'est devenu une randonnée causerie notre affaire, encore presqu'une demi-heure à discuter et relaxer. 

C'est du cyclotourisme comme j'aime le pratiquer ! Pas de stress, pas le feu au lac. En terme de délai, nous avons 13h30 pour boucler les 200 kilomètres, nous sommes largement dans l'étang, oups, les temps !

À notre départ, une deudeuche ou 2 CV toute retapée et toute belle, fait son apparition. Nous saluons ses passagers, avec bien entendu, des frenchies à bord. Décidément, ce brevet sera sous le signe de l'hexagone. 

Retour vers le futur avec cette deudeuche vert salade


Étape 4, de Mirabel à Vaudreuil, 50 km, total 201 km

Nous sommes repartis pour l'ultime étape de 50 bornes de ce brevet. C'est trop vite passé un 200, surtout lorsqu'on a quelques 1800 kilomètres dans les jambes pour le mois de Juillet. Ça passe comme une lettre à Postes Canada. On continue de déambuler sur les petites routes plates du secteur, à travers les différents hameaux de Mirabel. À gauche, à droite, le vent n'a plus vraiment d'importance, il a pas mal faibli.

Parmi les Mirabel, avant d'arriver parmi les pommes

Km 168, à tribord toute, c'est la Montée Robillard menant sur les hauteurs des vergers de la région. Régis se sent pousser des ailes, il s'envole tel le roitelet de Bagnères de Bigorre, référence à une récente discussion sur les Pyrénées. Je monte à mon rythme, sans trop d'effort. Je rejoins les cimes à travers les vignes et les pommiers.

En haut de la montagnette, c'est la récompense. Régis m'attend aux vergers Lafrance, confortablement attablés. 

Agréable pause touristique aux Vergers Lafrance

Nous allons nous chercher de quoi siroter frais, une canette de bon jus de pommes gazéifié pour ma part, bien sûr non alcoolisé. Je continue d'apprécier cette randonnée, bien touristique et gastronomique à souhait, comme on en fait rarement au club. Pourtant, l'itinéraire s'y prête bien, avec les 2 traversiers en prime, offrant une promenade sur l'eau rafraichissante. 

Je me régale avec ce jus de pomme gazéifié

Encore une pause d'une demie heure, c'est le tarif de la journée, sous le signe de la détente. Au total, nous nous serons arrêtés 3 heures pour 8 heures de vélo, c'est un excellent ratio pour prendre ça cool. 

Régis Pomès et le jeu de pomme

C'est reparti par une belle descente, commençant à St Joseph du Lac et se terminant à Pointe Calumet. De là, nous prenons la piste cyclable du parc d'Oka. Quelques kilomètres agréables en montagne russe, nous ramènent au village d'Oka. 

Belle piste cyclable dans le Parc d'Oka

Régis m'a largué dans les côtelettes, il a disparu de mon champ de vision. De mon côté, je continue ma promenade, en prenant des clichés par-ci, par-là. 

Le cyclotouriste admire le paysage

Oups, en regardant l'heure, je m'aperçois qu'il est presque 17h30. Si les traversiers sont aux 15 minutes, je ferai mieux d'appuyer sur le champignon. Ce que je fais, j'arrive donc in-extremis avant la relève de la passerelle du bateau, merci les motards en retard !

Je rejoins Régis, inquiet de ne pas me voir arriver. D'autant qu'il m'a prêté son chargeur  de batterie, mon GPS étant en manque d'énergie. J'avais configuré le rétro-éclairage au maximum, grossière erreur de débutant. 

Oups, juste à temps pour l'embarquement à Oka

Nous traversons à nouveau la Rivière des Outaouais, en réglant la somme de 3$ au passeur, un peu surpris par mon arrivée dernière seconde sur le bateau. 

La deuxième traversée fluviale du brevet, d'où son nom

Débarquement sur l'autre rive à Hudson, il ne nous reste que 10 bornes à parcourir par une route qui mériterait d'être refaite. Nous longeons le Lac des 2 Montagnes, en passant devant la maison de Félix Leclerc ou une halte touristique est possible. Nous n'en ferons rien car nous avons assez donné pour les pauses.

Plus le temps de flâner, il faut rentrer

Nous traversons donc Dorion sans nous attarder, au rythme des lumières. Il ne reste que le long boulevard de la Gare, et nous voici au Couche Tard, synonyme de contrôle de fin du brevet. Arrivée à 18h13, soit 11h13 pour cette randonnée de 201 km, à haute teneur touristique. Je remercie mon compagnon pour cette excellente journée passée en sa présence. 


Conclusion

Nous nous séparons en projetant nos futures activités. Pour lui, ce sera le 1000 Coureurs des Bois, déjà fait pour ma part en 2018, et beaucoup plus facile que le Gros 1000. Cela me tenterait bien, mais repartir sur un 1000 et 3 jours, m'ennuie un peu. Je vais laisser faire. De mon côté, ce sera samedi prochain, le dernier brevet d'été du CVRQ, soit le 300 Jean Robert, parcours en Estrie que j'ai largement remanié, sur des routes que j'apprécie. 

Pour ce qui est des autres participants, les 3 rapidos, Alex, Kathleen et Julie, auront complété leur défi de 200 km en 9h24, à plus de 28 de moyenne. Chapeau mesdames et monsieur ! Quant à Dija, elle me confirmera par courriel qu'elle a fini avec un temps de 13h15, en ayant passé une magnifique journée de son côté.

Alex, Julie et Kathleen ont réussi leur défi du 200 km

En guise de conclusion, je détournerai une phrase bien connue.

C'est quand même mieux de ne pas être seul et d'être bien accompagné !

Deux cyclos heureux après une belle journée de vélo

À la prochaine pour de nouvelles aventures.

Vive le CVRQ.


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